
Nous vivons dans un monde de mondes.
Des systèmes humains, techniques, écologiques, symboliques, s’entrelacent, des récits concurrents s’affrontent, des modèles s’épuisent. Ce n’est pas la fin d’un cycle, c’est la métamorphose d’un ordre : celui du sens, du pouvoir et de la culture.
The Aftermodernist est né de ces micro et macro fractures. Il cherche à comprendre comment, au cœur de l’apparent désordre, se recomposent les logiques du monde : les nouvelles symbioses entre humains, technologies et vivant, les tensions entre blocs civilisationnels, les nouveaux mythes qui redéfinissent nos horizons.
Nous sommes à l’époque de la composition. La modernité voulait tout maîtriser, la postmodernité a tout fragmenté. Il est temps d’apprendre à composer le sens et bâtir de nouveaux modèles culturels.
The Aftermodernist observe comment les systèmes se connectent, interagissent, s’opposent. Comment le sens, l’influence et la confiance circulent désormais à travers des réseaux distribués, entre citoyens, entreprises, institutions, technologies et récits. Cette architecture émergente s’appelle le Cultural Operating System : la structure par laquelle les sociétés pensent, agissent et s’alignent.
Au sein de chaque texte l’Aftermodernist cherche à faire émerger des pistes de cohérence dans la culture, la géopolitique et la technologie qui se façonnent mutuellement.
The Aftermodernist s’adresse à celles et ceux qui veulent habiter lucidement notre époque : comprendre ses architectures multiples, identifier ses lignes de force, imaginer des formes nouvelles de culture, de gouvernance et de responsabilité.
The Aftermodernist est un mouvement pour explorer la cohérence, la culture et le changement.
